En lisant ce billet sur le Transblawg de Margaret Marks (traductrice britannique vivant en Allemagne) je me suis rendu compte que dans d’autres pays que l’Allemagne, quand on fait incinérer quelqu’un après sa mort, on n’est pas obligé d’inhumer les cendres, ou d’en disposer autrement dans les mêmes conditions que celles prévues par la loi pour une dépouille mortelle.
Le land de Saxonie-Anhalt considère dispenser avec cette obligation, et Margaret Marks commente qu’elle trouve remarquable « la manière qu’on les gens de parler de la perspective de garder les cendres des membres de sa famille sur une étagère. C’est une sorte de stéréotype indiquant comment [les Allemands] trouvent étrange l’idée de ne pas enterrer les cendres. ».
En effet, la première chose que j’ai pensé en découvrant qu’on fait cela différemment hors les frontières allemandes était : « Comment ? Ils conservent vraiment grand-maman sur la cheminée ? Ce n’est pas une blague ? »
Et j’ai dû consulter Wikipédia au sujet du titre du billet, hydriotaphia, qui signifie « inhumation d’une urne funéraire ». (Je n’ai pas trouvé d’équivalent français, par contre.)
Billets connexes : The register of electoral campaigning, Elections, elections, Finex ! Pooo !, Scary, On being an immigrant, Bestiaire, But thy eternal summer shall not fade
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intersting this burial of the ashes. Indeed it seems quite absurd to me to do so.
In India where cremation is the main rule (of course discarding catholic and muslim rites), ashes are to be put in the sacred rivers or at least in water.
Bye.
Eva
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You wouldn’t believe how several people (me included) last night tried to remember your, er, unusual spelling of “kaleidoscope”. Three hyphens and no i, natch.