On entre dans une pièce, par hasard, au gré de ses pérégrinations. Devant soi, on aperçoit un tableau étrange et magique. On s’approche. La scène s’anime. D’étonnants sons et images surgissent. Et quand on pense que le spectacle se termine, que le rideau va tomber, nouvelle surprise : le décor se déplace et une une nouvelle féerie se dessine. Emerveillé, on tourne à droite, regarde à gauche, et le cycle recommence, se transforme encore.

fragment d'une gravure par John James Audubon

Cela m’est arrivé hier soir quand j’ai fait la découverte de ce site. Il est québécois et bilingue. Merci au Musée de la civilisation et en particulier son infographiste.

(Remarques : Vous aurez besoin de Macromedia Flash pour visionner le site. Si vraiment vous n’avez pas le plugiciel (dixit l’Office de la langue française) vous pouvez quand même regarder les 435 magnifiques gravures de John James Audubon. L’image que vous voyez à droite est un tout petit fragment d’une d’elles, © Musée de la civilisation. Elle est affichée ici dans le même esprit que le serait une citation prélevée d’un texte.)

Un seul être vous manque et tout est dépeuplé.