• 2005-06-27

The Guardian editorialist who writes under the pen-name Smallweed recently had to wrestle with the poetics of the Pennines. The reason was the following (true or pretended) letter to the editor he received:

Dear Mr Smallweed, Debate is raging in the letters pages about whether ‘Pennine’ is a spondee or a trochee. Surely the easiest way to settle this matter is to find the corresponding sponder or trocher and establish whether ‘Pennine’ has been troched or sponded? Yours, Luke Howard.

Dans le Guardian, le chroniqueur Smallweed (« petite mauvaise herbe» … joli, ça) vient de prendre à bras-le-corps le problème épineux de la poétique des Pennines (une chaîne montagneuse dans le nord de l’Angleterre ; le mot se prononce [ˈpenaɪnz]). Tout ceci à l’occasion d’une lettre qu’il prétend avoir reçu d’un lecteur, dont voici ma traduction libre, que tente de préserver le jeu grammatical:

Monsieur, Dans les pages « lettres » le débat fait rage si « Pennines » est un spondée ou un trochée. La méthode la plus simple de trancher ne serait-elle pas de trouver le spondeur ou trocheur en question et de déterminer si son action était de les sponder ou trocher  ? Cordialement, Luke Howard

(Dear Mr Smallweed, Debate is raging in the letters pages about whether ‘Pennine’ is a spondee or a trochee. Surely the easiest way to settle this matter is to find the corresponding sponder or trocher and establish whether ‘Pennine’ has been troched or sponded? Yours, Luke Howard.)


0 commentaire(s) pour 'Troching and sponding the Pennines'

Pas encore de commentaire.